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at least hide your flaws Δ ft. alice
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Sujet: at least hide your flaws Δ ft. alice Sam 7 Fév - 19:42

Je détestais l'hiver. Il faisait trop froid. le soleil n'apparaît plus pour des flocons inutiles. mais au point, ces flocons auront eu le mérite de ne pas me faire aller en cours. Je n'avais pas particulièrement envie de sortir par moins dix degrés, alors j'ai fait mine d'avoir attrapé la grippe qui traînait par-ci par-là au sein de l'école. J'avais juste à faire comme si ma voix était enrouée et avoir une mine fatiguée, malade. Ma mère n'a pas cherché plus loin. Elle a dit que je n'allais pas en cours.
Huit heure, les cours devaient bientôt commencer. Par la fenêtre, il m'arrivait de jeter des coups d'oeil, je regardais les gens mourir de froid. Des élèves de ma classe, des élèves que je connaissais pas. Tous y passaient par ce véritable froid. C'était pitoyable de les regarder en train de se réchauffer par les moyens disponibles. Y compris Alice. Elle frissonnait régulièrement et se frottait les mains. Malgré sa combinaison de ski, elle trouvait le moyen d'avoir froid. C'était désolant d'un côté. J'en souriais.
Je réfléchissais à ce que je pourrais faire de ma journée. Dormir de toute la journée n'était pas une mauvaise idée, mais ça serait la gâcher. Je sais que je serai seul. Ma mère part tout les matins à son travail aux abords de et demie. Je le sais. Quand j'étais plus jeune, je la regardais tout le temps partir à cette heure.
Je me suis glissé dans mon lit. Les draps étaient doux et chaud. J'ai fermé les yeux quelques minutes pour me détendre. Je les ai rouvert et j'ai tourné la tête vers mon radio-réveil. J'attendais que l'horloge indique trente. Quand le moment arriva, ma mère, comme je m'y attendais, me lança un bref « j'y vais » puis ferma la porte.
Je me suis soudainement levé de mon lit avant d'ouvrir délicatement la porte de ma chambre. Je ne voulais pas faire de bruit. Il n'y avait personne, mais c'était toujours une nuisance sonore en moins.
J'ai descendu rapidement les marches avant d'entrer dans la cuisine. Un petit-déjeuner était quasi-fait, si ce n'est qu'il ne manquait plus qu'un bol de lait réchauffé.
J'ai pris lentement mon petit-déjeuner. A vrai dire, j'ai préféré écouter l'actualité et jouer sur mon téléphone plutôt que de manger des corn'flakes mous et moisis.
Quand j'ai fini par quitter la cuisine, mon portable affichait dix heures et demi. Déjà ? Je sentais que ce midi, je ne mangerai pas.
Je suis remonté dans ma chambre, et j'ai allumé mon ordinateur.

Je ne sais pas combien de temps je suis resté devant, mais quelqlu'un a soudainement allumé la lumière de ma chambre et s'est mis à crier : ma mère. Elle venait de rentrer et ça commençait déjà.
Je n'entendais rien, j'avais mon casque sur les oreilles. Je la regardais sans rien dire, sans pouvoir être capable de dire quoi que ce soit. Elle ne me laissait pas parler. Elle me montra ma couverture par terre, mes vêtements empilés n'importe où, mon bureau rempli à bloc. Elle me montra surtout du doigt, puis elle enchaîna avec la porte. Elle voulait me mettre dehors ? J'ai retiré mon casque. On entendait fortement la musique, même sans. Mais surtout, j'entendais ce qu'elle criait depuis tout à l'heure.

« .... malade, alors tu vas aller chercher Alice, ou alors c'est moi qui vais te sortir d'ici de force et tu ne rentreras pas avant que je t'ai dis de revenir ! »

Ses paroles glissaient comme de l'eau dans mes oreilles. Elles restaient coincés jusqu'à ce que je ressurgisse. Elle voulait me virer juste parce que je n'étais pas aller cherché Alice ? Il n'était que seize heures cinquante. Elle ne finissait que dans ... dix minutes. J'ai soudainement réalisé ce qu'il se passait réellement.

« Maintenant que tu as compris, j'espère que tu feras vite avant qu'elle ne sorte, qu'elle te voie et puisse se réchauffer un peu ! »

Elle m'adressa un clin d'oeil avant de partir. J'avais envie de vomir. Alice ? Cours ? Fini ? Chercher ? Je m'embrouillais, mais je me suis machinalement levé de mon lit. Ma mère avait laissé la porte grande ouverte. Je sentais le froid entrer en contact avec ma peau. Je m'imaginais alors dehors. J'en tremblais. Foutue Alice. Encore et toujours Alice. Toujours à ramener les emmerdes partout où elle était.
J'ai attrapé deux-trois vêtements qui traînaient par là, puis je les ai enfilés et réajustés devant le miroir. Mon pull avait des plissures. Je rageais intérieurement de ne pas pouvoir les repasser. Mais bien évidemment, mademoiselle Alice attendait et madame Maxwell surveillait.
Je suis sorti en lui lançant un regard noir, qu'elle ignora naturellement.
Les mains dans les poches, l'écharpe jusqu'au nez, j'ai marché tête basse jusqu'à l'école d'Alice. Elle n'était pas si loin que ça de la mienne, mais elle l'était assez pour pouvoir mourir de froid.
Quand je suis arrivé devant la grille ouverte, je suis entré. Directement. Je cherchais du regard Alice, mais elle ne semblait pas encore sorti. Je suis entré à l'intérieur et j'ai attendu quelques minutes devant les casiers des chaussures. Des élèves passaient et me regardaient comme si j'étais un étranger. J'avais envie de leur cracher dessus. Foutus gens. Foutue Alice. Où est-ce qu'elle était encore passée ? Je détestais attendre. Et encore plus attendre quelqu'un qui ne semblait pas venir. J'ai soufflé d'agacement. Ca m'agaçait. J'allais pas attendre toute ma vie devant de vieux box.
Je suis allé chercher quelqu'un au hasard, qui avait (peut-être) eu le malheur de passer par là, avant de lui demander :

« Hey. Tu connais pas une Alice par ici ? Une petite. Aux cheveux noirs et aux yeux verts. Avec un gros manteau beige. »

La fille ( parce que oui, c'était une fille ) m'indiqua qu'elle devait encore être au deuxième étage et s'en alla. Sans rien dire de plus. J'étais encore plus énervé. J'étais censé savoir où était son putain d'étage ? Et elles étaient où les escaliers ? J'ai tourné en rond pendant cinq minutes de plus avant de trouver un plan sur un des murs. Comme un idiot, je suis resté devant pour mémoriser où passer. Tss. C'était moi qui était pitoyable sur le moment.
Je suis parti à ma droite pour finalement revenir sur mes pas et aller à ma gauche en me rendant compte que je me trompais de direction. Je suis monté en sautant deux à deux les marches avant d'arriver à l'étage où je voulais aller. Je me suis avancé dans le corridor puis j'ai soudainement entendu quelqu'un crier. A cette heure, autre qu'Alice, il y avait encore des gens pas assez fatigués pour gueuler comme ça ? Ca me tapait sur les nerfs de traîner dans son école. Sans même avoir assisté au cours une heure.
Je me suis aventuré dans le couloir et je me suis arrêté devant la porte de la salle d'où provenait les cris. J'ai fait coulissé la porte pour trouver Alice qui criait.


Dernière édition par North le Dim 15 Fév - 13:53, édité 1 fois
Einnim
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Sujet: Re: at least hide your flaws Δ ft. alice Dim 8 Fév - 0:02

at least hide your flaws
Il neige. T'ouvres à peine les yeux que la neige sur le rebord de la fenêtre te saute aux yeux. Depuis plusieurs jours déjà la neige s'est installée là, ça tombe sans relâche, avec un peu de chance, les autorités s'apercevront que c'est trop dangereux d'aller au lycée avec ce temps. C'est sur les vélo glissent... Ah non, à ce point, on peut plus utiliser de vélos.
T'es pas pressée de te lever. Pas pressée d'aller en cours, pas pressée de revoir à tous leurs faces. Puis tu penses à ta meilleure amie qui t'attends, tu l'imagines en train de geler. Et tu te souviens que t'en as plus.

Tu t'étires.
Y'a pas un bruit. Y'a jamais de bruit ici, surtout quand Aaron " dort ". Enfin quand il n'est pas obligé de te tenir compagnie le matin quoi. C'est un boulet.
Sa mère est déjà partie, tu prépare ton repas du midi que tu mets dans une boîte. C'est reparti.

Il fait froid, y'a du vent, il neige. Les gens se serrent comme des pingouins parce qu'ils ont froid, marchent comme des manchots à cause de leurs membres ankylosés. Et t'es comme eux, à te frotter les mains, sacs sur les épaules, alors qu'il fait encore noir et que ta respiration, à elle seule fait naître des nuages blancs. Réguliers.
T'es assez proche de l'école pour entendre sonner la cloche et en même temps sursauter à l'approche de la main qui s'est posée brusquement sur ton épaule.
Rejoins par ton amie de classe, vous finissez le chemin en courant, être en retard dans cette école c'est vraiment la merde. Direct ils contactent les parents, et tu veux avoir à faire le moins possible à eux. Parents de merde qui ont pas été foutus de te garder avec eux, à la place ils t'ont marié. ( Plus forcément malheureusement maintenant que tu connais mieux Aaron... ).

Les journées de cours c'est long, toutes les heures on les sens passées. Bien lentement, un regard à la pendule toutes les deux minutes pour se rendre compte que ça a pas bougé. Se motiver en se disant que trente minutes c'est pas long. Alors que si c'est long. C'est chiant. Des équations au tableau. Génial, t'avais besoin de ça dans ta vie. Genre plus tard ça va servir. Tu veux pas admettre que si, ouais en effet ça va servir plus tard,peut être, t'arrives même pas à imaginer comment se sera le plus tard. Ton cher paternel a déjà tout programmé. Qu'il est beau l'avenir.
Toi t'es comme ça, quand tu peux pas gueulé sur les gens pour montrer que t'existes, pour te persuader que tu te laisses pas marcher sur les godasses, tu te révoltes en maths. Ca sert à rien mais ça passe de deux minutes le temps. Temps que t'as l'impression de perdre, rester assise sur une chaise à noter au crayon de bois la leçon inexistante du prof qui ne se donne pas la peine de vous donner les moyens d'y arriver. Faut l'avouer, il est nul, il est nul.
Ce prof, le seul truc qu'il aime t'as l'impression c'est se faire saluer par tous les élèves, de montrer son pouvoir, de dire quand vous asseoir, quand vous vous levez, quand vous parlez, limite quand vous respirez. Et ça te révolte encore plus ça.

Et quand finalement une nouvelle fois, la cloche sonne, c'est la fin des cours pour tous le monde parce que ce jour si, dès midi les cours sont finis. Mais bien sur, au début d'l'année t'as fais la conne et t'as choisi des options histoire de rester au lycée pour pas rentrer à la maison, du moins le plus tard possible. T'avais pensé que ça aller te permettre de rester en sérénité un peu plus longtemps, raté les gens du groupe sont vraiment des cons. Puis le théâtre c'est vraiment pas pour toi.
Tu leur gueules dessus comme à des chiens, parce que tu te fais croire que t'es comme ce prof de merde que tu détestes au plus profond de toi, tu te fais croire que toi aussi tu les diriges, que dans la hiérarchie t'es située au dessus d'eux. Alors qu'en vrai t'es juste une gamine qui s'amuse à crier pour un rien qui s'est trop pris pour un colonel. Le pire c'est que tu gueules tellement fort qu'ils t'écoutent, t'as aucune autorité pourtant quand t'es avec lui, avec Aaron. Direct il te fait baissé les yeux.

La honte. Alors tu gueules encore plus fort pour te faire entendre, pour dire que c'est ridicule, qu'ils font de la merde, bien sur tu te mets pas dans le groupe. Tu peux même pas te mettre dans le groupe, tu fous rien t'es là pour regarder. C'qui est fou, c'est qu'ils arrivent quand même à t'apprécier, à te faire la bise, à se mettre avec toi en eps. Tu t'dis qu'ils ont un problème dans leur tête, mais ça te déplaît pas, tu supporterai pas d'être seule. Tu supporterai pas leurs regards insistant, de pitié peut être. Tu les détestes, ils sont pas assez bien pour toi.

Tu remarques pas quand la porte coulissante - coulisse - s'ouvre doucement et laisse apparaître le gars que t'es censée détester le plus au monde. Et toi tu continues à gueuler avec ta voix aiguë et les personnes du groupe qui soupirent.
Lui il arrive, il te prend par le bras t'entraînes à sa suite, t'as à peine eu le temps de récupérer tes affaires.

De retour dans le froid. T'oses même pas crier comme tu le faisais quelques minutes plus tard pourquoi il a fait ça. T'as déjà la réponse, on lui a demandé d'aller te chercher, il l'a fait. Point. Face à lui t'as peur de répliquer. Ah.

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Sujet: Re: at least hide your flaws Δ ft. alice Mar 10 Fév - 19:00

En la voyant hurler comme ça, j'y croyais pas. Vraiment pas. J'avais envie de rire parce que d'habitude, Alice restait silencieuse comme une fille à qui on aurait coupé la langue. Mais après avoir légèrement réfléchi, j'ai réalisé. Je me suis soudainement senti honteux. Fiancé à une hystérique. C'était la pire des plaies. Les gens sur lesquels elle gueulait étaient blasés. Je l'étais aussi.
J'ai soupiré. Je me suis approché, non pas à pas de loup, et j'ai attrapé son bras. Je l'ai traîné, jusqu'à la sortie, en faisant des allers-retours parce que je ne savais plus où aller.

Au bout d'une vingtaine de minutes à l'intérieur, nous sommes sortis. Il faisait un froid de canard. J'essayais de ne pas frissonner, respirant lentement. J'ai lâché son bras. Un silence s'est installé entre nous.
Une Alice qui hurlait. C'était inhabituel. Mais c'était hilarant. Même de dos, je voyais que son visage était rouge ; ses oreilles l'étaient. Elle serrait les poings et hurlait tout ce qu'elle pouvait. J'avais envie de rire. Ce que j'ai fini par faire.
J'ai éclaté de rire, comme ça. L'envie était trop forte. Je riais trop, je m'en pliais. J'en avais mal aux côtes au bout d'un moment, mais j'ai fini par réussir à articuler :

« Putain t'étais sérieuse ? A gueuler comme ça sur les gens ? Alors que t'as tout le temps un balai dans le cul ? »

J'aurais presque pu en pleurer de rire. Ma mâchoire me faisait mal.

« La grosse blague ! C'était vraiment débile à voir sérieux ! Aha, j'y croyais pas moi-même ... »
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Sujet: Re: at least hide your flaws Δ ft. alice Mar 10 Fév - 21:29

at least hide your flaws
T'as rien dis. Tu pouvais rien dire alors tu te la fermais comme tu l'as toujours fait en sa présence. T'as tellement honte qu'il t'ait vu comme ça. Faire ça. Crier comme pas possible.
Abasourdie, tu l'as laissé chercher la sortie pendant une bonne vingtaines de minutes, t'aurais pu lui montrer. Mais t'étais ailleurs, t'es là sans être là, t'as suivis tournant en boucle ce qui s'était passé.
C'était pas la mort. Mais ça t'en foutais une dans l'cul tiens.

Une fois sortie, t'as commencé à marcher plus vite, tu l'as dépassé. T'avais envie de courir, de plus le voir, l'oublier, oublier que tu l'aimais, que tu aimais ce connard. Tu serrais les poings en colère contre toi même, rouge. Toujours avec ce putain de froid qui te mordais le visage. Il a fini par rire. Ca t'as tellement énervée, t'as pas relevé. T'as pas écoutais son rire. Son rire il est rare. Il rit pas. Pas souvent. Pas avec toi. Parfois, dans sa chambre, tu l'entends rire, tu l'imagines devant son écran. Et tu l'écoutes rire.

Mais en attendant, il continuait à se moquer de toi. Tu l'écoutais plus au bout d'un moment, t'étais absorbée par autre chose, un truc pas précis, un peu flou, quelque chose qui n'existait pas vraiment, juste pour te convaincre que personne ne parlait dans ton dos et se moquait ouvertement de ta gueule.
T'es du genre franche avec les gens que t'aimes pas. Mais t'aimes pas quand les gens le sont avec toi. Ouais c'est chelou, mais tu préfères ne pas le savoir quand il te critique, etc. Alors ça t'énerver encore plus qu'il le fasse comme ça, qu'il le sache ou pas.

« Putain t'étais sérieuse ? A gueuler comme ça sur les gens ? Alors que t'as tout le temps un balai dans le cul ? »

« La grosse blague ! C'était vraiment débile à voir sérieux ! Aha, j'y croyais pas moi-même ... »

Tu t'répétais en silence connard connard connard connard j'te déteste va crever... . Puis en réalisant que tu l'avais dis à voix haute, assez haut pour que tu l'entendes. Tu te retournas, encore plus rouge, comme une conne, les bras ballants le long du corps. Tu baissas immédiatement la tête.
Trop une tapette pour le regarder dans les yeux.

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Sujet: Re: at least hide your flaws Δ ft. alice Mar 10 Fév - 21:56

J'ai arrêté de rire. Subitement. Je l'ai regardé dans les yeux, comme pour la fusiller. Du moins, c'était à la limite. Je me retenais. Si j'aurais pu faire autre chose que la regarder avec toute la dureté que je pouvais mettre dans mon regard, je l'aurai fait.

« " Connard, j'te déteste, va crever " ? »

Je l'ai cité, sèchement. Directement. Sans rien dire d'autre. Qu'elle se prenne la tête à imaginer ce que je pensais sur le moment.

« On voit bien le respect que t'as pour quelqu'un qui vient te chercher. Ca me fait de la peine. », ripostais-je de manière ironique.

A vrai dire, ce qu'elle pouvait penser de moi, j'en avais pas grand chose à faire. Mais ça permettait toujours de passer le temps. Et aussi de l'éloigner encore plus de moi. Que je me débarrasse de cette histoire de mariage pour de bon. Ça commençait à me taper sur les nerfs à bien y réfléchir.

« C'est magique, parce que je pourrai très bien t'insulter de tout les noms les plus rabaissant, mais je le fais pas. C'est nul hein. Mais en fin de compte, t'es vraiment qu'une pétasse. Pas que je le savais pas, mais c'est toujours bien de le dire. »

pour que tu t'en rendes bien compte. En plus de savoir ce que je pense de toi.

« Moi j'pars devant puisque madame veut faire sa princesse. Si tu crèves de froid, tu diras qu'un chien t'a tellement blessé que tu pouvais plus bouger. Qu'on rejette pas la faute sur moi comme toujours. Tu te traîneras sûrement par terre pour le prouver. Salut. »

J'ai pris les devants et j'ai commencé à m'éloigner. Les mains dans les poches, la tête dans l'écharpe, je me remis à penser à ce qu'il venait de se passer. Elle m'avait tourné la tête après avoir dit ce qu'elle pensait.

« Elle assume même pas ce qu'elle dit en plus, cette bouffonne. Ca fait pitié. »

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Sujet: Re: at least hide your flaws Δ ft. alice

at least hide your flaws Δ ft. alice
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